Présentation
Le défi
Suite à une importante mise à niveau du réseau WAN reliant ses bureaux japonais et ses sites de fabrication, CASIO disposait d’une bande passante suffisante pour lancer la centralisation de ses serveurs.
CASIO a commencé par rechercher les moyens de consolider environ 1000 systèmes employés dans ses différentes filiales en un plus petit nombre de serveurs physiques rassemblés à un emplacement unique, et a d’abord sélectionné le logiciel de virtualisation d’un éditeur important. Il devint vite évident que le coût potentiel de la solution menaçait d’en dépasser les avantages attendus. CASIO a donc envisagé d’avoir recours à un autre logiciel de virtualisation.
Solution SUSE
Le processus de virtualisation et de centralisation des serveurs fournissait les avantages attendus en termes d’amélioration de la sécurité et d’efficacité opérationnelle, mais CASIO n’obtenait pas les avantages attendus en termes de coûts.
« Pour le logiciel de virtualisation que nous avions d’abord choisi, le choix proposé
en serveur et stockage compatibles est limité, le coût a donc tendance à être plus élevé », déclare Kazuyasu Yamazaki, Network Group, Casio Information ServiceCo., Ltd. « La possibilité d’utiliser la technologie Xen incluse dans SUSE Linux Enterprise Server sur presque n’importe quel matériel nous a séduits.»
En mettant en oeuvre SUSE Linux Enterprise Server avec SUSE Linux Enterprise Virtual Machine Driver Pack, CASIO a bénéficié des mêmes performances pour les serveurs virtualisés qu’avec la solution d’origine, mais à environ 10 % du coût. CASIO utilise des serveurs équipés des derniers processeurs Intel VT et AMD-V pour permettre une virtualisation sans système d’exploitation à des vitesses proches de celles d’origine.
« Nous utilisions déjà SUSE Linux Enterprise depuis deux ans comme plate-forme pour Oracle Collaboration Suite », déclare Norihito Kuniyoshi. « Virtual Machine Driver Pack a permis à Xen d’obtenir le même niveau de performances que notre logiciel d’origine, et nous a donc offert une alternative de virtualisation viable et à faible coût. » L’introduction de Xen sur SUSE Linux Enterprise comme plate-forme pour la virtualisation Windows est toujours une nouveauté pour CASIO et la société continuera d’utiliser son logiciel de virtualisation d’origine parallèlement à cette nouvelle technologie en attendant d’établir une stratégie d’avenir.
Le fait que Xen soit un logiciel Open Source est important, car cela réduit notre dépendance envers un seul fournisseur », affirme Kuniyoshi. « De plus, la sécurité offerte par l’alliance entre SUSE et Microsoft a influé sur notre décision. Xen avec SUSE Linux Enterprise est la seule plate-forme officiellement approuvée pour la virtualisation de Windows sur Linux. »
Les résultats
En permettant à CASIO d’exécuter plusieurs serveurs Windows côte-à-côte sur un même serveur physique, les technologies SUSE réduiront considérablement les coûts et amélioreront la flexibilité. CASIO espère réduire le nombre de ses serveurs physiques de moitié, en utilisant à la fois Xen et sa solution de virtualisation d’origine.
« Selon nos premiers résultats, le coût de la virtualisation de systèmes Windows à l’aide de Xen et SUSE Linux Enterprise ne représente que 10 % du prix de la meilleure solution équivalente », déclare Kuniyoshi.La différence est encore plus fracassante si l’on tient compte du coût matériel lié à la solution alternative. »
Xen et SUSE Linux Enterprise s’exécutent sur des processeurs Intel et AMD compatibles avec la virtualisation. Ainsi, CASIO est en mesure de consolider plusieurs serveurs Windows sans perte de performances ou presque. Cela signifie qu’un plus grand nombre de systèmes virtuels peuvent s’exécuter sur chaque nouveau serveur physique, en conservant un faible coût total d’investissement.
« La virtualisation des serveurs permet à CASIO de réduire ses coûts logiciels et matériels grâce à une consolidation hautement efficace », déclare Kuniyoshi.
« L’utilisation de la technologie de virtualisation Xen intégrée à SUSE Linux Enterprise nous permet de réduire le coût de la virtualisation. De plus, nous disposons ainsi d’une solution Open Source officiellement reconnue par Microsoft. »